Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle: Confinée, Déconfinée (1) !

AVERTISSEMENT

Mes fidèles lecteurs se diront, au vu du titre : « Encore un récit de déconfinement ». Et
il est vrai qu’ils se multiplient sur HDS et, à juste titre, puisque les 55 jours passés
chez soi, seul(e) ou dans le cadre de la cellule familiale, n’ont sans doute pas été
facile à vivre pour beaucoup de libertins. Et cela a aussi été particulièrement le cas
pour une hypersexuelle comme moi et pour un candauliste comme mon mari Philippe.

Ce récit est a priori bien moins « hard » que bien d’autres situations dont j’ai parlées.
J’avais envie de partager cette expérience récente, qui fut, pour moi, comme pour
Philippe, une vraie bouffée d’oxygène, le sentiment de reprendre « un peu » la vie
d’avant.

Elle s'est cependant déroulée dans un contexte très difficile, dont je porte toute la
responsabilité, du fait de mon imprudence, de mon impatience et de mon comportement
passé.

Avant de passer (ce sera l’objet du texte suivant) au récit d’un dimanche candauliste, je
vais en évoquer les prémices, y compris les grandes difficultés que je rencontre pour ne
pas reproduire, avec ma fille ainée, les conflits que j’avais vécus avec ma propre mère
dans mon adolescence.

Si je parle, sans entrer évidemment dans tous les détails, qui relèvent de la sphère
privée, des difficultés familiales que je rencontre en tant qu'hypersexuelle et épouse
d'un candauliste, ce n'est ni du masochisme, encore moins de l'exhibitionnisme, c'est
d'abord pour souligner que certains comportements présentent des risques importants,
lorsqu'on a des charges de famille. C'est aussi pour faire réfléchir que j'en parle.Avec
mes proches, nous travaillons pour résoudre ces problèmes et je suis heureuse de dire que
nous avons récemment constaté une amélioration.

LE CONTEXTE : UNE HYPERSEXUELLE « ASSAGIE »

J’ai expliqué, dans six derniers textes publiés récemment sur HDS (le 27 octobre 2019, le
25 novembre 2019, le 7 janvier 2020, le 6 février 2020, le 11 mars 2020 et le 18 avril
2020) les lourdes conséquences de mon adultère avec N.



Ayant in extremis retrouvé ma place auprès de Philippe, j’ai accepté de m’en remettre
entièrement à lui, à ne rien faire sans son accord et sans sa présence.

Nous avons « codifié » dans ce que nous appelons notre « pacte candauliste», la façon
dont nous fonctionnons depuis mon retour auprès de Philippe, en juin 2017.

Je renvoie sur ce point au texte que j’ai publié à ce sujet sur HDS le 20 juin 2019 : «
Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : Pacte candauliste et
amendements ».

En clair, je m’interdis désormais tout dérapage adultère et Philippe s’engage à organiser
des « moments » où je pourrai donner libre cours, avec d’autres partenaires, à mon
hypersexualité et lui satisfaire son candaulisme.

Consciente d’avoir failli tout détruire, je sais quelles seraient les conséquences si je
m’écartais une fois de plus, une fois de trop, de cette voie. Agun, ma compagne, s’est
porté garante de ce nouvel équilibre. Malgré ou à cause de son immense amour, je sais
qu’elle aussi, pas davantage que Philippe, ne passerait l’éponge si je retombais dans mes
« errements ».

Certains penseront que j’ai adopté ce comportement pour des raisons matérielles. Je ne
mentirai pas en disant que ça compte pour une mère de famille. J’avais pourtant, en 2017,
délibérément tout sacrifié pour rejoindre mon amant, en abandonnant toutes mes
responsabilités familiales.

J'en garde une grande honte. Cette crise m’a au moins fait comprendre ce que sont pour
moi Agun et Philippe et ce que représente leur amour. C’est pourquoi, depuis 3 ans, je
m’en remets entièrement à mon mari candauliste pour gérer mon hypersexualité.

C’est cet équilibre, ce compromis, que nous avons su préserver depuis trois ans. Cela n’a
pas toujours été facile. J’apprécie d’autant les moments que m’offre et organise
Philippe.
Ils sont précieux même s’ils ne sont pas, c’est vrai, assez fréquents de mon
point de vue. Cela est la conséquence de nos charges de famille, du temps disponible
limité de Philippe, mais aussi des précautions strictes que nous prenons pour préserver
notre anonymat et ne pas retomber dans des erreurs antérieures, en faisant en sorte
notammment que ça ne se passe pas dans notre région et en évitant de revoir ensuite nos
partenaires d’un moment.

Philippe, en tant que candauliste et parce qu’il m’aime, apprécie lui aussi ces moments,
depuis les premiers contacts jusqu’à leur aboutissement. Sa complicité est une magnifique
preuve d’amour et c’est à lui que j’offre mon plaisir. S’il sait qu’une volonté farouche
me permet de maîtriser mon hypersexualité, il n’ignore pas qu’à un certain stade, je suis
en réel état de manque et qu'il doit faire quelque chose pour y pallier.

Je suis parvenue à réguler mon hypersexualité et à éviter les débordements grâce à
l’amour, à la tendresse et au plaisir que me donnent mon mari et ma femme. L’un et
l’autre m’apportent tant, au niveau sentimental, mais aussi physique. J’ai déjà parlé du
rôle d’Agun, avec qui nous avons une communion parfaite et qui sait si bien apaiser mes
sens. Avec Philippe, sont oubliés les problèmes rencontrés au début de notre couple et
qui me frustraient tant. Philippe a su devenir un amant performant et qui d’ailleurs
avait su ainsi me reconquérir sur Hassan, le soir même de mon mariage avec celui-ci (je
vous invite à lire ou à relire « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse
hypersexuelle (34) : adultère… avec Philippe. », paru le 7 octobre 2017). Avec Philippe,
nous faisons l’amour, nous avons beaucoup de plaisir, mais je sais et il sait que cela ne
me suffit pas, que j’ai aussi besoin d’être baisée, pour dire les choses clairement.

Je continue aussi à pratiquer assidument la masturbation comme je l’ai toujours fait.


Le contrôle que nous (je dis nous car c’est ma volonté, avec le soutien de Philippe et
d’Agun) avons réussi à assurer sur mon hypersexualité a aussi, il faut bien le dire, été
« facilité » par les nécessités et les contraintes de la vie familiale, les charges et le
bonheur que représentent quatre s qui grandissent et exigent toute l’attention de
leur mère.

Et puis je reconnais aussi le rôle que joue l’écriture des textes sur HDS, y compris la
gestion des commentaires. Tout cela m’a bien aidé dans cette période, de même que la
lecture de certains textes publiés sur ce site, où j’ai découvert quelques auteur(e)s de
talent que je suis fidèlement. Je veux aussi remercier mes fidèles lecteurs, qui
commentent mes publications. Me sentant en confiance, j’échange avec un nombre limité
d’entre eux, à qui j’ai pu confier des éléments que je ne pouvais publier ici. Merci à
eux, qui se reconnaîtront et qui m’ont beaucoup aidé, tant par leurs commentaires que par
nos échanges privés.

55 JOURS DE CONFINEMENT ET PLUS

Nous avons la chance d’habiter une grande maison, disposant de beaucoup de pièces (y
compris un petit studio) et d’un jardin.

Pour préserver les s, nous avons fait le choix de domiciles séparés pour mes deux
couples, avec Philippe et avec Agun. La perspective du confinement m’a poussé à proposer
à Agun, in extremis, de se joindre à nous et de s’installer dans le petit studio situé à
un autre étage que nos pièces de vie.

Sa présence a été pour moi un soutien précieux. Avec les s à la maison, ainsi que
Philippe en télétravail, il fallait veiller à l’organisation du temps scolaire et de la
journée pour les s. L’école à la maison a d’ailleurs été prolongée jusqu’il y a
peu, du fait de la lente réouverture des écoles, du collège et de la crèche pour le petit
dernier. Je dirai seulement que les journées étaient bien chargées pour moi, malgré
l’investissement de Philippe et d’Agun.
Le soir, j’appréciais la tendresse de Philippe,
qui se montrait aussi entreprenant qu’au premier jour de notre relation, sans que cela
suffise, Philippe le savait bien, à calmer ma libido.

S’agissant de mes relations intimes avec Agun, je voulais être prudente car je n’ai pas
oublié les scènes interdites dont je fus témoin dans mon adolescence et qui ont beaucoup
pesé dans l’émergence de mon hypersexualité. Il n’était pas question que cela se produise
avec mes s, en particulier l’ainée, Lucie, qui entre dans l'adolescence.

Même si Agun rejoignait le soir le petit studio, j’ai voulu éviter tout risque et je
n’ai eu que très peu l’occasion de me retrouver dans les bras de ma chérie, alors que
j’aurais tant eu besoin que ses caresses apaisent mes sens.

La masturbation a pu consti un moyen de calmer ma frustration, mais là aussi, je
devais me refreiner, en n’oubliant pas que les filles étaient à la maison et pouvaient
être alertées par mes cris de plaisir.

Cette période a donc été pour moi très difficile. Je ressentais, comme jamais depuis
trois ans, un immense sentiment de manque, qui allait crescendo, au point de devenir une
véritable souffrance. Ce confinement est venu aggraver un manque que je ressentais de
plus en plus depuis des mois, lié aux problèmes de santé auxquels avait été confronté
Philippe, mais aussi ma mère. Nous n'avions guère eu l'occasion de mettre en application
les "règles" sur lesquelles nous nous étions mis d'accord.

Un sérieux incident m’a amenée à m’en ouvrir à Philippe, moi qui ne m’étais jamais
plainte et m’en étais toujours remise à lui pour répondre à mes besoins.

J’étais nue, amoureusement lovée dans ses bras:

• Chéri, je n’en peux plus. Tu sais, je n’osais pas aller chez Agun, car j’avais
trop peur à cause des filles. Je n’en pouvais plus, j'ai craqué, je suis montée la
rejoindre; j’avais besoin qu’elle m’apaise. Je suis donc allée chez Agun hier et nous
avons fait l’amour, comme des folles, pendant deux heures. C’était merveilleux, tu sais.
Mais tu sais aussi que je ne suis pas discrète quand je jouis. Le problème, ce matin, est
que Lucie m’a dit : « J’ai entendu des cris chez marraine Agun ». J’ai rougi et j’ai
répondu : « Elle a dû faire un rêve » Et j’ai pali quand Lucie m’a dit « c’est ta voix
que j’ai entendue ! ». Je l’ai rabroué, en lui disant « Qu’est-ce que tu racontes ? »
Elle m’a dit alors « Tu es une menteuse et je te déteste ». J’ai perdu mon sang-froid et
je lui ai donné une gifle, que j’ai immédiatement regrettée.

• Je craignais ça, et Agun aussi, c'est pour ça qu'elle était réticente quand tu
lui as demandé de passer le confinement avec nous. Ca ne va pas être facile avec Lucie,
qui t’en veut encore d’être partie il y a trois ans rejoindre N. Il va falloir gérer ça,
avec la psychologue, je vais de mon côté parler à notre fille et la calmer.

• Je m'en veux énormément, c'est ma faute. Ca m’inquiète terriblement. Elle se
comporte envers moi exactement comme je me comportais à son âge vis-à-vis de ma mère. Et
toi, tu es son Dieu, comme mon père était le mien .

• C’est vrai qu’elle te ressemble beaucoup, tant pour le caractère que
physiquement. Je te rassure, je n’encourage pas de complexe d’Electre chez elle!

• Je suis impardonnable, mais j’avais besoin de rejoindre Agun, je n’en pouvais
plus, mon chéri. Je deviens folle tellement je crève d’envie. C’est la première fois en
trois ans que je suis dans un tel état. Pardon de le dire comme ça, j’ai besoin de
baiser. Je t’aime, mais tu ne me suffis pas, chéri, tu le sais.

• Je te connais mon Olga, tu n’as pas besoin de dire les choses pour que je les
comprenne. J’avais ressenti ta frustration, ton manque, je dirai même ta souffrance.
C’est pourquoi je suis en train d’organiser les choses pour t’offrir ce qui te manque,
dès que serons levées les restrictions aux déplacements. Ce n’est pas facile, car il faut
aussi tenir compte des précautions sanitaires. Mais ça y est, j’ai un contact sérieux et
il te plaira.

• Tu es merveilleux. Je t’aime, mon mari. Petit vicieux, tu aimes offrir ta femme !

• Oui j’aime ça et j’avoue que ça me manque à moi aussi. Etre le témoin de ton
plaisir est un privilège dont je me lasse pas.

Mon regard exprimait tout mon amour pour ce mari exceptionnel et si complice avec son
épouse. Je me suis mise à descendre lentement le long de sa poitrine, avant de prendre en
bouche sa verge. Philippe me caressait les cheveux, alors que je concentrais toute mon
attention sur la fellation que je lui offrais :

• Je lui ai dit que tu étais une pipeuse exceptionnelle, mon amour.

La nuit qui suivit fut courte, Philippe était insatiable de moi.

UN DIMANCHE DE DECONFINEMENT

Philippe avait longuement parlé à Lucie, lui expliquant que j’étais très proche d’Agun,
qu’il le savait et que cela ne le gênait pas. Il lui avait dit aussi qu’elle ne devait
pas se comporter ainsi avec sa mère. Nos relations sont désormais particulièrement
froides, malgré tous mes efforts, elle ne me parle pas, sauf pour se montrer insolente à
mon égard.

Je vis très mal cette situation, qui me fait comprendre tout le mal que j’avais infligé,
il y a tant d’années, à ma mère.

La première phase du déconfinement m’apporta un peu de sérénité. Agun ayant rejoint son
domicile, j’ai pu, grâce à la complicité de Philippe, la rejoindre de temps en temps et
trouver un peu d’apaisement dans ses bras. Mais il m’en fallait davantage, Philippe
l’avait compris.

La limitation des 100 kilomètres à partir du domicile a été levée à partir du 2 juin. Le
week-end suivant étant celui de la fête des mères, ce fut donc le dimanche suivant que
Philippe s’était mis d’accord avec cet inconnu pour une rencontre au domicile de celui-
ci. Nous avions fourni et demandé les résultats d’un test sérologique pour le Covid,
négatif. Je savais qu’il faudrait être prudents et que désormais, le seul homme que
j’embrasserais était mon mari, moi qui aimait tant les baisers langoureux avec mes
amants.

Ma chérie Agun a été une fois de plus notre dévouée complice et a accepté de garder les
s. Compte tenu de la froideur que marquait désormais à son égard notre aînée,
celle-ci était allée passée quelques jours chez sa marraine Christine. Nous avions
expliqué aux s que nous avions besoin, après presque trois mois en famille, de nous
retrouver à deux, une journée.

Philippe avait choisi une distance qui permettait d’organiser notre déplacement sur une
seule journée, dans la limite de deux heures, tant pour l’aller que pour le retour.

Sur la suggestion de Philippe, j’avais choisi de m’habiller en épouse sage, en mère de
famille, certes sexy, mais d'apparence sérieuse. Je ne voulais pas apparaitre provocante,
même si cet homme, cet inconnu, savait pourquoi nous venions.

J’avais choisi un chemisier échancré, couleur crème, qui ne laissait pas deviner que je
ne portais pas de soutien-gorge. J’avais aussi une jupe rouge serrée qui allait juste au-
dessus des genoux, ainsi que des bas noirs avec porte-jarretelle. Je montrais ainsi mes
jolies jambes mais pas mes cuisses, et, comme la jupe était serrée, elle mettait bien en
valeur mon joli cul. J’avais aussi mis un string et des chaussures à talon « aiguille ».
Quant au maquillage, je l’avais voulu discret, choisissant un « gloss » rose pour les
lèvres et un peu de noir pour les yeux.

Je restais angoissée par la tension qui persistait entre moi et notre aînée. Pendant le
trajet, Philippe réussit à m'apaiser, me demandant d'arrêter de me r, de profiter
pleinement de ces quelques heures qu'il voulait m'offrir.

Tout en conduisant, la main droite posée sur ma cuisse, Philippe me parla enfin de celui
qui devait être mon amant du jour. Il s’appelait Serge, il avait 35 ans, très sportif,
musclé et très viril. Serge était récemment séparé de sa femme. Il n’était pas un
libertin, mais lui aussi était en manque. Les hasards des réseaux sociaux avaient permis
d’établir le contact entre lui et Philippe. Des relations de confiance s’étaient créées.
Serge avait avoué que, très pris par son travail, il avait négligé son épouse, qui avait
fini par le quitter pour un autre homme. Philippe avait fini par parler de notre couple
et de notre cadre candauliste. Les deux hommes ont beaucoup parlé de moi. Philippe
consentant à envoyer des photos intimes, mais son mon visage. Dubitatif au départ sur nos
pratiques, Serge finit par se montrer intéressé. Philippe avait fini par avoir la
certitude que Serge était « bien pourvu » et endurant, ce que nous recherchions.

• Que lui as-tu dit de moi ?

• Je lui ai parlé de ton hypersexualité. Je lui ai dit que ce que tu cherchais
était un mâle, pour te faire démonter, baiser comme une salope. Je lui ai dit aussi que
tu étais la reine de la fellation, que tu aimais te faire enculer, que tu aimais tout ce
qui conduisait au plaisir. La seule chose que nous refusons est la vulgarité et la
violence.

• Je vois que tu y es allé carrément. Tu m’as fait passer pour une salope !

• C’est quand même ce que tu es, ma chérie. Mais seulement dans ces moments-là, je
précise ! Je lui ai dis aussi que tu aimais, dans ces moments-là, que ton amant te traite
comme une salope, y compris dans le choix des mots.

• Tu m’excites, mon chéri !

Philippe prévint Serge quelques minutes avant notre arrivée. Sa maison était au bout d’un
lotissement, à la sortie d’un village, sans voisin immédiatement à proximité. Nous
n’étions pas connus ici mais nous avions toutes les garanties de discrétion.

Serge nous attendait sur le pas de la porte. Philippe ne m’avait pas menti. C’était un
bel homme grand, d’allure sportive. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. La
distanciation sociale ne nous permettait ni bises, ni poignées de mains.

Sans que nous ayons eu besoin de parler, j’ai vu que Serge me détaillait, qu’il me
déshabillait du regard, en connaisseur.

• Bonjour Olga, Philippe et moi avons beaucoup parlé de toi. Il ne m’a pas menti,
tu es superbe ! Ne restons pas ici, entrez, nous n’avons que quelques heures devant nous
et je sais que Madame est impatiente. Moi aussi, je l’avoue !

Galamment, Serge s’effaça pour que je franchisse la première la porte d’entrée. Il en
profita pour poser sa main sur mes fesses :

• Quel cul ! Magnifique !

Son autre main prit aussitôt possession de mes seins. Mes tétons se dressaient et
traduisaient d’emblée mon excitation. Je me reculais alors pour me coller bien contre
lui. Je sentis alors contre moi son désir, une érection particulièrement prometteuse. Je
me frottais contre lui, montrant mon désir. Je mis ma tête sur son épaule. J’avais envie
de me retourner, qu’il me serre dans ses bras et prenne possession de mes lèvres. Je me
suis abstenue car je savais qu’il ne fallait pas. J’avais envie de ce mâle. Si j’avais
pu, je me serais offerte, là, sans attendre davantage.

J’oubliais ces semaines de confinement et la situation difficile avec ma fille. Je ne
pensais plus à cet instant qu’à ces quelques heures de plaisir que j’allais connaitre
grâce à Philippe.

Serge se reprit, pressé lui aussi de passer aux choses sérieuses :

• Allez, on rentre ! On sera mieux à l’intérieur pour faire ce que nous avons à
faire!

C’est Philippe que j’ai embrassé amoureusement :

• Merci mon amour pour ce que tu fais pour moi. Il me semble que tu as bien choisi
!

• Tu sais que je veux le meilleur pour toi.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!